Hier soir, à l'Opéra Bastille,
Lucia di Lammermoor (Donizetti, 1835)
la voix de Nathalie Dessay.
Je ne l'avais jamais vue sur scène, jamais entendue dal vivo, j'étais bouleversée.
Quand elle chantait, le livret (mince) disparaissait;
il n'existait plus que cette voix qui vous tient dans la joie de vivre jusqu'au bout du drame.
La salle était en folie, on se serait cru à un concert rock, c'était merveilleux.
10 octobre 2006
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